Manu, je comprends mais travailler c'est trop dur et voler c'est pas beau...lalalala
C'est quoi cette histoire de trois mois a Bonndorf. Ils vous sequestrent ou quoi?
Andrea, merci pour tes messages. Je suis bien content d'avoir pu contribuer a ta bonne humeur.
Maman, merci pour ta fidelite infaillible. Il semblerait que tu sois ma plus grande fan.
Catherine, merci aussi de ta presence reguliere sur ce blog. Que tout se passe bien pour toi en Australie.
En voyant la photo ci-dessous vous vous demanderez quelle est la taille du machin.
Et ben voila, c'est vachement grand. C'est un Kochangoptere pas pique des hannetons.
Bon, ben paradis,...
Malgre la magnificence des paysages, j'ai eu le bourdon toute la journee. Comme quoi, le bonheur ca vient avant tout de l'interieur.
Le saviez-vous?:
50% de la population des iles de reves thailandaises est suedoise. Ca reste du depaysement.
Il y a meme des ecoles pour leurs progenitures.
Le tsunami a cause la perte d'environ 3% de la population de ce pays nordique.
L'expression "ne mettez pas tous vos oeufs dans le meme panier" est pleine de bon sens.
A bon entendeur salut.
2 commentaires:
Merci pour tes mercis ! Je vois que tu fais ami ami avec les insectos ! ils sont bien beaux. Je sais, en effet, que le bonheur vient de l'intérieur. Deux mois de solitude c'est long, heureusement il y a le blog et les e-mails pour te sentir quand même accompagné, mais ça ne remplace pas la parole et le partage de visu. Bon, ben, ça t'économisera un voyage en Suède ! Y-a-til encore des traces du tsunami ?
Ta maman-fan toujours près de toi par la pensée. Plus que 15 jours ...
Désolée de ne pas pouvoir t'offrir la réciprocité, je n'ai rien de drôle à te raconter. Je remarque seulement que la fréquentation des insectes influe même sur tes états d'âme, car, vois-tu, moi à ta place j'aurais parlé de mélancolie plutôt que de bourdon. C'est la tension qui retombe, ça passera vite j'espère. Des fois que ça t'aiderait à surmonter - petite piqûre de rappel - ici le blues est gris, gris gris ... Je sais, ce n'est pas la météo qui te manque mais te souvenir d'un truc communément nommé les giboulées de mars pourrait peut-être t'aider à patienter ... Imagine comme ce sera beau, des retrouvailles en avril quand il te suffira de ne pas te découvrir d'un fil pour ne pas aussitôt choper une sinusite!
Biz
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